Hogsmeade music fill my heart [ft Harold]

Préaulard, qui n'aimerait pas préaulard ? Un village de sorcier magnifique et comme figé dans le temps, des maisons aux airs de contes de fées, des animaux fantastiques courant dans les rues. Ce lieu était magique et merveilleux, empli de boutiques et de commerçants des plus unique et magnifique. Comme chaque week-end où la demoiselle avait la chance de pouvoir profiter d'un peu de temps livre pour sortir, pour vivre, pour passer un peu de temps en dehors de l'école, elle allait voir préaulard, visiter ses boutiques, faire quelques achats parfois. Le tout accompagné par sa chaperonne favorite, une femme de chambre qui utilisait la poudre de cheminette pour rejoindre l'entrée de l'école et ainsi pouvoir la chaperonner correctement. Après tout, elle était Miss Lacroix, seconde fille du Duc et de la Duchesse Lacroix et il serait des plus malvenue qu'elle se promène sans personne pour la chaperonner et veiller à ses intérêts.

Flânant ainsi doucement dans les rues, son uniforme troqué pour une tenue qui sied à une dame de son rang. Jupe longue à godet, veste et corsage à manche ballon, un chapeau, piqué dans son chignon haut. Une dame ne se permettrait jamais d’apparaître sans couvre-chef lors d'une sortie. Bien sûr, dans Poudlard, les choses étaient différentes, mais en dehors, les règles de la société prenaient le pas, sur les règles de l'établissement scolaire.

Avançant ainsi avec tranquillité, elle observait les vitrines. Les chaudrons de Ceridwen et leurs fumées de toutes les couleurs exaltant des senteurs impressionnantes. Derviches et Bang, sa boutique favorite, là ou elle trouvait toujours quelques nouveaux livres à lire étudiait et un libraire passionnait qui aimait à entendre son avis sur les différentes lectures qu'elle pouvait avoir.

Pourtant, elle n'était pas là pour cela aujourd'hui. Non, aujourd'hui, elle avait rendez-vous chez Mme Snelling qui disaient on, avait tout une gamme de produits capillaire magnifique et quoi de mieux pour se mettre en joie qu'une nouvelle coiffure ? Il ne fallait que peu de chose pour faire plaisir à cette demoiselle qui avait pour défaut ou qualité, selon la façon dont vous souhaiterez la juger, la coquetterie. Ainsi, marchant à pas lent, tel que se doit de faire une dame, elle remontait les rues pavées, passant sur le côté de la célèbre auberge du chaudron baveur, regardant un fléreur courir après une souris ou... un niffleur ? N'aurait-il pas quelque chose de brillant entre les pattes ? Perdant son attention, la jeune femme se prit, sans le vouloir la bottine dans un pavé, risquant de trébucher, se rattrapant avant cela, observant autour d'elle si personne ne l'a vu, elle se reprit un instant, jetant un regard sur la queue du flereur qui disparaissait déjà au loin. Quelle drôle d'animal que celui-ci, vraiment.

Reprenant ainsi sa route, la demoiselle finit par arriver sur la grand-place, un lieu plein de vie, de monde et de musique. Musique qui l'attira pour une raison qu'elle n'aurait pas su expliquer. S’arrêtant ainsi devant l'orchestre magique qui jouait, elle se laissa emporter par la musique, profitant simplement de l'instant oubliant tout... Même ceux qui l'entoure et qui sait qui pourrait la croiser et venir la saluer ou la rencontrer.

La musique était enivrante, un mélange d'instruments magiques, flottant à environ un mètre au dessus du sol et qui jouaient par eux même selon les ordres du musicien qui servait de chef d'orchestre. Elle était joyeuse et enjouée, donnant sa place à chaque instrument, les un après les autres, ravissant la demoiselle, mais aussi les personnes environnantes qui semblaient toutes apprécier le spectacles. On pouvait par ailleurs voir certains lancer une pièce dans le chapeau du musicien, une petite participation, un petit prix à payer pour ce concert improviser qui offrait, comme souvent, un air de fête et de gaieté aux rues de Préaulard.

Badinant légèrement de la tête, une dame se devait de rester stoïque en toute circonstance et de ne point se donner en spectacle, la jeune Lacroix n'avait point remarquer la petite créature qui s'était faufiler jusqu'à ses jupes, semblant regarder d'un air envieux et intéressé un petit bracelet qu'elle aimée à porter. D'un or délicat il alterné des symbole de soleil et de lune avec de petite perles délicate. Un bracelet qu'elle aimait pour sa délicatesse et sa simplicité.

Ce ne fut ainsi qu'au moment ou un jeune homme d'une allure particulière attrapa la créature, la faisant quelque peu sursauter qu'elle y prêta attention. Un jeune niffleur aux grand yeux bleus et à la fourrure d'un gris clair était dans les mains du jeune homme, les restant d'un collier de perle disparaissant dans sa poche ventrale. Cela offrit un sourire à la dame qui aimait toutes les créatures magique. Du moins, l'affirmait elle, bien qu'il y a des forts doutes quand à son affection envers les accromentules. Posant son regard sur le jeune homme qui tenait la petite créature, elle fut surprise qu'il la connaisse et soit même familier avec elle.

Papillonnant un instant des paupières, elle observa le jeune homme dans sa tenue digne des colonies indiennes de l'empire britannique, de son visage carré et mal rasé, de sa chevelure qui n'avait rien des standards de mode de l'époque. Elle ne le reconnaissait pas le moins du monde. Certes, la couleur et la forme de ses yeux lui disait vaguement quelque chose mais...outre cela. Rien du tout. Ce qui permit au cerveau de la demoiselle, qui ne l'aurai certainement pas fait en d'autres circonstance, d'étudier le minois et le charme du jeune homme, son sourire en coin et de se dire qu'il avait un certain charme qui en vint à faire légèrement rosir les joues de la demoiselle.

« Veuillez me pardonner Monsieur, je ne pense point vous connaître, bien que vous sembliez savoir qui je suis. »

Un sourire avenant et doux ourla ses lèvres alors que sa chaperonne observait d'un regard méfiant ce jeune homme qu'elle avait, pour sa part reconnu en quelques secondes, mais puisque la jeune fille qu'elle avait à surveiller était trop sotte pour faire le rapprochement...

« Serais ce votre niffleur que je vois ici ? Quelle créature adorable, aurait il ou elle un nom ? »

Relancer la conversation, parler de sujet simple, s’intéresser. Des choses qu'elle avait apprise dans ses cours d'art de la conversation et qu'elle mettait en pratique parfois, lorsque cela semblait être intéressant, notamment lors des bals ou événements mondain opu elle pouvait croiser quelques partis intéressant avant de se désintéresser d'eux devant son frère qui se mettait à faire une fiche détailler du monsieur et du pourquoi elle devrait ou non l'épouser. Comme si elle pensait à cela actuellement...

Des mots venu d'un conte de fée, un sourire charmeur et un regard profond. Voila qui était surprenant, mais fort charmant. Après tout, fort peu savaient si bien jouer des mots ou laisser planer le mystère. Si c'était amusant et charmant, c'était également fort agaçant, car elle n'avait aucune idée de qui était le jeune homme à la blonde chevelure et alors qu'il caressait lentement la tête de la créature qu'il tenait entre ses mains. Pourtant, elle se fendit d'un gloussement amusée, observant la créature et le jeune homme, faisant attention à ses manières et à son paraître en public.

« Je n'ai point souvenir, veuillez m'en excusez. Il se trouvait que le lapin était en retard et que je supporte fort peu la fumée. Quant à l'imaginaire qui sait ce que mon subconscient peut faire, mais je suis au regret de vous annoncer que vous ne faites point parti de mes rêves. Ce genre de choses se mérite et je ne sais si vous en êtes digne monsieur. Après tout, vous continuez de jouez alors que vous connaissez mon nom et moi pas. »

Nouveau sourire, plus prononcé, des jeux de regard, tel qu'on lui a appris à faire pour charmer un monsieur et l'amener à faire ce qu'elle souhaite. N'étais ce pas la seule arme des femmes ? Faire en sorte que les messieurs réponde à tous leurs désir ? Du moins quand elles savaient s'en servir et la demoiselle, savait. Après tout, les messieurs étaient toujours sucre et miel avec elle, bien qu'elle douche avec politesse leurs espoirs. La chaperonne de son côté roulait des yeux. Comment sa protégée n'avait pas encore reconnu son propre cousin ? Certes, ils n'étaient point proche et le jeune homme avait prit en peu de temps l'allure d'un homme, mais tout de même...la jeune Lacroix était elle donc à ce point aveugle ?

Écoutant ainsi la conversation venant sur la créature la chaperonne restant dans son silence, observant, surveillant, alors que le jeune homme expliquait sa soudaine apparition. Alice, elle, écoutait avec intérêt, continuant de sourire à la petite créature, gloussant à la mention de son bracelet avant d'aller chercher une petite pièce dans son réticule qu'elle offrit avec candeur à la créature.

« Vous êtes donc un héro sauvant la veuve et l'orphelin, poursuivant les voleurs et sauvant les demoiselles avant qu'elles ne soient en détresse. Néanmoins je vous remercie pour mon bracelet. Il me tiens à cœur, me rappelant un de mes contes favoris. Celui de la lune et du soleil. »

Nouveau sourire, alors qu'elle observe autour d'elle pour voir si la boutique dont parle le jeune homme est loin et qu'il posait une question qui la surpris au plus haut point. La connaissait il donc si bien que cela ? Plissant subrepticement les paupières, elle fit attention de ne point se départir de son sourire alors qu'elle replongeait son regard vers l'inconnu.

« Fort bien,je vous remercie de votre sollicitude. Mais encore une fois, je ne pourrais vous retourner la question sans connaître votre identité. Je pense même devoir mettre terme à cette charmante conversation. »

fini de jouer, cela commençait à l'agacé bien plus qu'autre chose de rester dans le flou de l'incertitude et d'être prise pour une dinde ignare.

Des indices cachés dans les mots emprunté au conte de Lewis Carol ? Si ils y étaient, ils étaient bien caché. A moins que ce ne soit des indices qui n'en soit pas ? Il arrivait parfois que l'on pense que d'autre sont au courant de certaines choses et vérité dont ils sont en réalité ignorant. Pourtant, cela semblait amuser le jeune homme et fit sourire la jeune fille. Elle n'était pas contre le jeu et l'amusement, tant qu'il y avait certaines limites. Bien sur, elle avait cherché à comprendre qui était ce monsieur, comment il la connaissait, ou ils avaient pu faire connaissance, mais si son regard avait quelque chose de familier, elle ne parvenait pas à mettre le doigt dessus.

Enchainant la conversation, parlant de choses et d'autres, que ce soit de la petite créature que la demoiselle gâtée d'une pièce dont elle n'avait certainement pas besoin ou d'un conte qu'elle aimait elle fut surprise que l'homme face à elle la connaisse bien au point qu'elle en rit un instant.

« Il est rare que l'on connaisse ce conte...mais il est tres populaire dans ma....famille... »

Observant la broche a laquelle elle n'avait jusqu'ici prêté aucune attention, elle ecarquilla les yeux de surprise. Bien sur qu'elle connaissait cette broche, idiote qu'elle était. Pourtant, ce n'était que maintenant qu'il la lui montrait, qu'il cité sa tante, qu'il énoncé à voix haute son nom qu'elle reconnaissait enfin ce regard. Harold Pennyworth. Son cousin. Cet homme.
Papillonant des yeux de surprise, elle le détailla de nouveau. Sa stature, sa musculature, sa tenue, sa machoire, ses yeux ses cheveux. Grand dieu, avait elle dit qu'il était charmant ? Non, elle n'avait du que le penser... Avait elle penser que son cousin était charmant ?! Grand dieu...non...c'était impossible...C'était... Harold !

Bouche bée, stupide, il lui fallut quelques instant pour se reprendre et sourire tandis que la chaperonne était désespérée de tant de stupidité.

« Harold ! Seigneur Dieu, comme vous avez changé je ne vous aurez jamais reconnu ! Vous êtes devenu très bel...euh..charmant...enfin...vous êtes un homme maintenant ! »

Idiote ! Pure idiote ! Elle en avait les joues en feu de gêne d'avoir pu ainsi dire cela à son cousin ! Le petit Harold avec qui elle s'entendait à peut prêt, qu'elle ne côtoyait que peu, discret qu'il était. Il avaient pourtant étudier ensemble et il lui semblait qu'ils suivaient le même cursus mais jamais elle n'aurai imaginé...

« Vous...revenez de voyage ? Votre tenue est pour le moins surprenante cher cousin, bien qu'elle vous sied, mais...vos frères sont ils venu avec vous ? Je serais ravie de saluer mes autres cousins. »

Sauver les meubles coûte que coûte, changer la conversation, perdre ce rouge qui envahis ses joues avant de s'enterrer elle même dans les tréfonds du sol.

Elle avait rougi pour Harold Pennyworth. Elle ne savait pas si elle devait en être amusée ou mortifier. Rougir de la sorte pour son cousin ? Le petit Harold comme elle l'appellait, parce que...Eh bien on l'appeler ainsi dans sa famille ! Il avait toujours était un peu en retrait de ses frères, un peu plus frêle, la tête plongée dans un bouquin. Comment aurai elle pu deviner que cet homme face à elle, grand, musculeux, une barbe couvrant une mâchoire charmante, une chevelure blonde comme les blé, pouvait être cousin Harold. Certes, elle avait eu un doute au regard. Ses yeux étaient significatif et elle mentirait si elle disait qu'elle n'avait pas déjà remarqué qu'ils étaient charmant. Mais dire au revoir à un cousin et saluer un homme au sourire charmeur. Personne ne pourrait s'y attendre. Pas plus que les élucubrations stupide qui avaient quitté sa bouche et qui avait fait rire celui ci .
Grand Dieu, sa mortification pouvait etre plus grande ? Certes, il la complimentais en retour et cela lui plu, mais...grand dieu, elle avait dit à son cousin qu'il était beau et charmant ! Si cela remontait aux oreilles de son frère...il manigancerait pour les marier ! Après tout, c'était commun pour les familles de sang pur.

Détournant le sujet vers quelques conversation autre, tel que les voyages qu'il avait pu entreprendre, car elle savait qu'il avait voyagé, elle ne fut pas surprise de sa réponse et hocha doucement la tête.

« Je comprend mieux votre ensemble. C'est quelque peu excentrique pour nos contrées, mais cela vous va plutôt bien. Au moins vous dépareillez vous de vos frères, »

Encore un compliment. Grand dieu pouvait elle fermer sa bouche ? Il fallait qu'elle arrête séance tenante toutes élucubrations stupides et ces compliments qui ne faisaient que la mettre dans un état de stupidité avancée. Pourtant, elle continua de l'écouter, d'apprendre le pourquoi de son retour. Elle fut surprise qu'il parle de ses frères sans qu'ils ne soient présent mais n’eut pas à attendre longtemps pour les voir débarquer. Les fameux Pennyworth.

Elle les accueillit avec plaisir, saluant chacun par son prénom les laissant lui baiser la main en quelques gloussements avant qu'ils ne parlent de la tenu d'Harold. Si celui ci repris rapidement, la demoiselle ne resta pas en reste.

« Vous parlez de cette tenue digne des plus nobles de l'empire britannique des indes ? Très cher cousin, je connais bien des hommes en ce pays qui souhaiteraient être aussi élégamment vêtu que cousin Harold. »

Etait elle satisfaite du regard de ses cousins qui se sentaient soudain idiots en observant leurs frère, se demandant si, effectivement, cette tenue était du plus belle effet en Inde ? Absolument. Mais cette tenue était elle du plus bel effet en Indes ? Elle n'en avait absolument aucune idée.

Laissant la conversation se poursuivre sur le bijou qu'avait chapardé le petit niffleur, elle écouta de nouveau ses cousins être pour le moins...hautain et pédant. Elle se rappela ainsi pourquoi elle ne les cotoyais jamais plus que nécessaire. Peut etre etais aussi pour cela qu'elle avait mis du temps à reconnaître son cousin. Néanmoins alors qu'il parlait d'aller ramener le collier elle pris de nouveau la parole, demandant à ses cousins de lui montrer le bijou. Une dame adore ces choses là non ?
Faisant donc jouer sa féminité pour voir le présent, elle observa le collier. C'était un bel objet certes mais.

« Ma foi quel beau collier ! Il me rappelle celui que portait mère-grand. C'est vrai qu'il est élégant, mais je ne me croyais que ma tante n'avait que quelques années de plus que mère... »

Avait elle instillé le doute ? Oui. En était elle fière ? Oui. Elle n'appréciait pas qu'on se moque des autres et elle la façon dont ses cousins avaient parlé à leur frère l'avait agacé. Aussi, quand celui annonça ramener le collier et lui proposa de rester avec ses frère, lui pris telle le bras avec la plus simple des spontaneité. Ils étaient parents, cela ne poserait donc aucun souci d'étiquette.

« Laissez moi plutot vous accompagner. Je brule d'en apprendre plus sur vos voyages et qui sait, peut etre trouverais je un nouveau bijou dans cette boutique ? Une demoiselle n'en a jamais assez. »

S'éloignant tranquillement au bras de son cousin, laissant les frères de celui ci derrière la dame attendit qu'elle soit hors de portée d'oreille bien que la chaperonne les suive pour reprendre.

« Sont ils toujours aussi taquin à votre propos Harold ? Je vous avoue ne pas me souvenir, il faut dire que nous ne nous côtoyons point tant que cela. »

Harold avait toujours été un féru de littérature, de contes et d'histoire. Aussi, le voir reprendre, une nouvelle fois le conte d'Alice au pays des merveilles, la fit sourire. Elle était habituée sur certains points à être assimilée à cette demoiselle moldu des contes de fées, bien qu'elle se demanda si la demoiselle était réellement moldu au vue des aventures qui lui arrivait. S'amusant ainsi de la comparaison de son cousin avec le chapelier, elle lui répondit, lançant une sorte de petite pique amusée.

« Le chapelier dites vous ? A votre sourire qui tente de se faire charmeur j'aurai plutot pensé au chat du Cheshire tout bariolé qu'il est. »

Un sourire taquin pris place sur le visage de la belle, qui s'amusait de l'expression de son cousin, tout comme de ses manières. Pourtant ce moment amusant entre proches fut rapidement interromput par l'arrivée d'autres proches. Si de prime abord la dame était on ne peut plus ravi de revoir ses cousins nombreux, elle déchanta vite en voyant quelle belle bande de gougnafier ils étaient à se moquer ainsi de leur frère. Si il y avait une chose qu'elle n'aimait pas, c'était les moqueries méchantes ou visant à blesser. Elle pouvait se montrer taquine, mais jamais pour blesser. Aussi, entra t elle dans la danse, car si une dame ne commence jamais une joute, elle sait parfaitement la finir.
Répondant ainsi avec amusement et légèreté à ses cousins, les laissant en quelques questionnement, elle gloussa de voir Harold se joindre à elle, l'appuyant sur le bijou qui était quelque peu vieillot. Cela plairait certainement, mais elle aurait personnellement plutôt pris ce bijoux pour une dame d'un âge certain plutôt que sa tante. Pourtant, cette joute fini bien vite au goût de la demoiselle, très très vite même. Pourtant, elle nous goûta point son plaisir de voir trois garçon regardaient avec un air stupide leur collier, puis leur frère et leur cousine s'éloignant. A croire que personne n'avait jamais préféré la compagnie d'Harold à la leur.

S'éloignant ainsi aux bras du blond en tenue indienne, elle accepta avec douceur ses remerciements, tout comme ses explications.

« Vous n'avez pas à me remercier Harold. Quant à vos frères, je me ferais un plaisir d'entrer dans ces joutes et de leur fermer leur clapet. Vous devenez dès l'instant mon cousin pennyworth favori ! »

Gloussant quelque peu, elle se serra un peu plus au bras de son cousin, tel une accolade amicale et innocente. IL parla de leurs passé, de leur relation familiale et il était vrai qu'ils ne s'étaient jamais réellement cotoyés. Chacun plongé dans ses bouquins, évitant un peu le contact des autres. Pourtant, elle resta surprise de savoir qu'il ai eu pu avoir de ses nouvelles, tout comme de la fermeté du son bras.

« Il est vrai Harold, que nous n'avons jamais été les plus proches. Néanmoins je savais que vous étiez en voyage, bien que je ne sache ou. Est ce là bas que vous vous etes fait pareil bras ? J'ai l'impression de m'accrocher au tronc d'un arbre ! »

Elle gloussa quelque peu, avant de répondre à la question de son vis à vis

« Quant à mes études, elles se passent pour le mieux je pense, au vue de ma situation. Après tout, j'ai toujours eu la passion de la lecture et je me dois de viser vers quelque chose de réalisable. Entretenir une petite bibliothèque devrait être réalisable une fois que je serai mariée, du moins je pense... »

Oui, elle en doutait, car tous les époux n'étaient pas bon, ni ouvert à ce que leur femme fasse autre chose que de s'occuper de la progéniture que l'on espérait nombreuse, mais si elle avait l'opportunité de choisir son futur époux, elle y ferait attention. 

Entrant dans la bijouterie ensemble, Alice commença à fureté, observant les vitrines, les bijoux, les formes et les couleurs. Elle laissa parler Harold et le joaillier qui semblait fort content de voir revenir son bien et ne releva pas le fait que son cousin puisse souhaiter acquérir le collier. Néanmoins quand le joaillier, fit une supposition, elle tourna la tête pour voir son cousin rougir, les yeux rivé sur une montre. Il avait toujours été plus ou moins timide de son souvenir, mais elle n'allait pas le laisser ainsi.

« Bien que ce bijou puisse me plaire, mon cousin est à la recherche d'un présent pour l'anniversaire de ma tante. Pour ma part, je souhaiterais plutot avoir votre accord pour récupérer la petite chose qui vous avez chapardé ce bijou. Je pense qu'elle serait mieux dans la réserve des animaux fantastique de Poudlard et cela serai plus sur pour vos magnifique bijoux. »

Elle sourit de plus belle, innocente et pure, battant lentement des cils vers le joaillier pour récupérer le niffleur et ne pas le voir se faire punir pour une chose qui était naturel pour son espèce.

« Par ailleurs, je n'ai jamais été une immense amoureuse des colliers, je préfère de loin les broches, un peu comme celle dans votre vitrine qui représente une plume. »

Enjôler et charmer, tel étaient les armes des dames. Personne ne pourrait dire qu elle ne savait se servir de celle ci, surtout par Harold à qui elle repris le bras avec délicatesse.

« Ma tante adorera ce bijou Harold, vous avez un goût fort sur. »